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Thursday, January 30, 2020

LARRY ROMANOFF -- Le nouveau Coronavirus en Chine : l’examen des faits


Global Research, le 25 janvier 2020
Les grands médias Occidentaux ont traité le sujet du nouveau coronavirus qui s’est déclaré dans la ville de Wuhan dans le centre de la Chine, mais à part de petits détails répétitifs et l’habituel dénigrement sur la Chine, ils se sont peu intéressés aux circonstances. Mon commentaire initial se compose ici d’un mélange de près d’une centaine d’articles de la presse Occidentale, principalement de ABC, CBS, CNN, de l’AFP, et de certains médias Chinois. Officiellement appelé le nouveau coronavirus (2019-nCoV), la contagion est une infection des voies respiratoires, un nouveau type de pneumonie  virale, de la même famille que des infections comme le SRAS* et le SRMO**.
*Le syndrome respiratoire aigu sévère lié au coronavirus ou plus simplement syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) est une maladie infectieuse des poumons (pneumonie) due au virus SARS-CoV de la famille des coronavirus.
**Le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (SRMO, en anglais MERS) est le nom d'un variant de coronavirus hautement pathogène découvert en 2012, provoquant en particulier un symptôme de pneumonie aiguë
Au moment de la rédaction de cet article, les autorités médicales Chinoises avaient annoncé 830 cas d’infections virales confirmées dans 29 provinces régionales du pays, et 25 décès, principalement parmi des personnes âgées souffrant déjà de maladies et se trouvant peut-être en mauvaise condition physique. Quelques cas ont été détectés dans d’autres pays : la Thaïlande, la Corée, Singapour, le Vietnam, les Etats-Unis, le Japon, qui concernaient tous des Chinois s’étant rendus à Wuhan. Initialement, le virus ne semblait pas se répandre entre humains, mais pourrait avoir muté lorsque 15 membres du personnel médical ont contracté l’infection virale  transmise par d’autres malades. On est toujours dans l’incertitude quant à la facilité avec laquelle il se transmet d’un individu infecté à un autre.

Les premiers symptômes étaient bénins, ce qui a permis à de nombreuses personnes de voyager avant que des symptômes plus graves ne soient détectés. Leur première apparition en décembre n’a suscité que peu de préoccupations. La période d’incubation n’a pas encore été définie, mais une fois que les infections ont commencé, cela s’est répandu rapidement après la confirmation du premier cas le 31 décembre : puis, 44 cas le 3 janvier, 225 cas le 21 janvier, 830 cas le 24 janvier. Les autorités sanitaires et médicales de la région ont déclaré que la véritable étendue du coronavirus de Wuhan n’était pas connue, et les premiers chiffres officiels ont pu être été sous-évalués étant donné que les symptômes bénins et le délai d’incubation signifient que des infections n’ont pu être détectées.
Les premiers indices laissent supposer que les autorités Chinoises ont agi avec efficacité dès qu’elles ont pris conscience du danger à venir. Les autorités médicales ont immédiatement déclaré l’épidémie, et en une semaine l’agent pathogène a été clairement identifié. Ils ont pu déterminer la séquence du génome à l’OMS et à des tiers, soit une réaction suffisamment rapide pour leur valoir des félicitations bien méritées de la part de l’OMS et des scientifiques du monde entier.
Se rappelant les désordres provoqués par le SRAS, elles ont pris des mesures supplémentaires. Dans la plupart des grandes villes du pays, tous les stades, salles de spectacles, musées, attractions touristiques, tous les lieux qui attirent les foules, ont été fermés, tout comme l’ensemble des écoles. Tous les voyages, et groupes touristiques ont été annulés. Non seulement la ville de Wuhan, mais quasiment la province du Hubei tout entière a été mise en quarantaine. Tous les trains, bus, métros, ferrys, sont immobilisés et toutes les autoroutes principales et péages sont fermés. Des milliers de vols des compagnies aériennes et de voyages en train ont été annulés jusqu’à nouvel ordre. Certaines villes comme Shanghai et Pékin procèdent à des relevés de température du corps sur toutes les routes qui conduisent dans la ville. De plus, Wuhan est en train de construire (en cinq jours) un hôpital provisoire de 25 000 m² pour traiter les patients infectés. Wuhan a également demandé à ses habitants de ne pas quitter ou d’entrer dans la ville sans une raison majeure et tout le monde porte des masques préventifs sur le visage.
Le défi de faire respecter ce genre de mise en quarantaine est immense, comparable à celui de fermer toutes les lignes de transport pour une ville qui a 5 fois la taille de Toronto ou Chicago, deux jours avant Noël. Ces décisions sont sans précédents, mais témoignent de la détermination des autorités pour limiter la propagation et les dommages éventuels de ce nouveau virus. Elles ne se préoccupent pas seulement de la gravité de la situation, mais prennent également sérieusement en compte la santé publique, des décisions malheureuses et difficiles qui ont entravé la célébration du Nouvel An Chinois par des centaines de millions de personnes. La plupart des spectacles ont été annulés, ainsi que des voyages et de nombreux mariages. Les dommages conséquents  sur l’économie au cours de cette période, la plus festive de l’année, seront également considérables. Hong Kong sera sérieusement touché, en plus de tous les autres incidents, étant donné que ce sont les visites des Chinois du continent qui font vivre l’essentiel de son commerce de détail au cours de cette période.
Le Nouvel An Chinois est la fête la plus importante pour les Chinois. Le samedi 25 janvier est le premier jour du Nouvel An Lunaire, une période de festivités qui est la plus grande période de vacances et de déplacements sur la planète ; lorsque les Chinois retournent vers leur lieu de naissance pour se retrouver en famille. Aucune autorité sanitaire n’a jamais relevé le défi actuel de la Chine, un pays aux prises avec un nouveau coronavirus alors que des centaines de millions de personnes se préparent à voyager.
Et bien sûr les médias Occidentaux se sont fait une joie de se réjouir du malheur des autres. CNN a publié un reportage – un peu trop joyeux à mon sens – sur les dégâts potentiels pour l’économie Chinoise : (1)
« L’économie Chinoise ralentit et le pays souffre toujours des effets de la guerre commerciale avec l’Amérique. L’éruption d’un nouveau virus mortel est la dernière chose dont elle avait besoin. Le coronavirus de Wuhan avait déjà perturbé les marchés Chinois et provoqué le chaos pour les projets du Nouvel An Lunaire de millions de personnes. La deuxième économie mondiale a connu la plus faible croissance économique en près de trois décennies l’année dernière, en étant confrontée à une dette grandissante, une demande intérieure en baisse et des droits d’importations douanière Américaines en œuvre malgré la trêve récente. Pékin est également préoccupé par le chômage, et a annoncé une série de mesures incitatives ces dernières semaines, pour prévenir des licenciements massifs … L’éruption du coronavirus de Wuhan pourrait répandre la peur et inciter les gens à se replier sur eux-mêmes et éviter de sortir de chez eux. Ce genre de comportement porterait un coup dur au secteur des services, qui représente maintenant près de 52 % de l’économie Chinoise ». [Et ainsi de suite . . .]
Les médias Occidentaux ont déjà défini les enjeux fondamentaux, toutes les sources médiatiques prétendant que le virus a été transmis à l’homme par des animaux ou des fruits de mer. Les médias ont encore jeté de l’huile sur le feu en affirmant que le virus provient « de gibier vendu illégalement » sur un marché « où l’offre comprend du gibier qui peut être porteur de virus dangereux pour l’homme », et que ce virus « s’est transmis à la population humaine à partir d’un animal infecté ». Les officiels Chinois ont déclaré que le virus semblait provenir d’un marché aux poissons de Wuhan, bien que son origine n’ait pas été déterminée ni confirmée par les autorités, et qu’il s’agit toujours d’une question non résolue étant donné que les virus franchissent les barrières d’espèces sans assistance humaine. 
Bien qu’il n’y ait pas de preuve de guerre bactériologique, l’éruption d’un virus dans la ville de Wuhan juste avant la migration du Nouvel An Chinois pourrait avoir des répercussions sociales et économiques dramatiques. Wuhan, avec une population de 12 millions, est carrefour majeur au centre de la Chine, particulièrement pour le réseau de trains à grande vitesse, et avec plus de 60 corridors aériens offrant des vols directs vers la plupart des grandes villes du monde, ainsi que plus de 100 vols domestiques vers les grandes villes Chinoises. Lorsque nous ajoutons à cela le grand rush du Festival de Printemps au cours duquel des centaines de millions de gens traversent le pays pour se retrouver en famille, les conséquences potentielles pour le pays tout entier sont d’une grande portée.
Comparaison avec le SRAS
Il s’agit d’un nouveau Coronavirus (2019-nCoV), une souche entièrement nouvelle de la famille des virus du SRMO (MERS- CoV) et du SRAS (SARS-CoV), bien que les premières analyses suggèrent qu’il ne soit pas dangereux.
Il a été prouvé que le SRAS est provoqué par une souche de coronavirus, une grande famille de virus en grande partie inoffensifs également responsables du rhume des foins, mais le SRAS a montré des caractéristiques jamais observées sur un virus d’origine animale ou humaine, lequel ne correspond pas non plus aux virus d’origine animale mentionnés précédemment, et contient du matériel génétique qui n’est toujours pas identifié – similaire à ce nouveau coronavirus de 2019. 
Le virologue Alain Cantwell a indiqué à l’époque que « le mystérieux virus SRAS est un nouveau virus jamais observé par les virologues. Il s’agit d’une maladie entièrement nouvelle provoquant des effets dévastateurs sur le système immunitaire, et pour lequel il n’y a pas de traitement connu ». Le Dr. Cantwell a aussi remarqué que l’ingénierie génétique des coronavirus a été expérimentée par des laboratoires médicaux et militaires depuis des décennies. Il a écrit que lorsqu’il a fait une recherche dans PubMed pour le terme « ingénierie génétique du coronavirus », il a obtenu 107 références à des expériences scientifiques remontant à 1987. Pour citer le Dr. Cantwell :
« J’ai rapidement eu confirmation que les scientifiques avaient procédé à l’ingénierie génétique de coronavirus chez l’animal et l’homme pour produire des virus mutants et recombinants pathogènes depuis plus d’une décennie. Pas étonnant que les scientifiques de l’OMS aient si rapidement identifié le SRAS/coronavirus. Ce que les journalistes médicaux ne soulignent jamais c’est le fait que pendant plus de quarante ans, les scientifiques ont fait « franchir la barrière de l’espèce » à toutes sortes de virus d’origine animale et humain. Ils ont créé des virus chimères (des virus composés de virus de deux espèces différentes). Cette recherche sans garde-fou produit des virus de fabrication humaine dangereux, dont beaucoup ont le potentiel de devenir des armes bactériologiques. Assurément, le SRAS a toutes les caractéristiques d’une arme bactériologique. Après tout, les nouveaux agents de la guerre bactériologique n’ont-ils pas été conçus pour provoquer une nouvelle maladie avec un nouvel agent infectieux ? Comme dans de précédentes expériences militaires, tout ce qu’il faut … pour répandre le SRAS est une bombe aérosol … » (2) (3) (4)
Presqu’immédiatement après avoir obtenu la séquence du génome, plusieurs scientifiques Russes ont émis l’hypothèse d’un lien entre le SRAS et la guerre bactériologique. Sergei Kolesnikov, un membre de l’Académie des Sciences Médicales Russe, a déclaré que la propagation du virus SRAS pourrait avoir été une fuite d’un virus de combat élaboré dans les laboratoires d’armes bactériologiques. Selon plusieurs articles, Kolesnikov a indiqué que le virus de pneumonie atypique (SRAS) était la synthèse de deux virus (de la rougeole et de la parotidite infectieuse ou oreillons), dont la combinaison naturelle est impossible, et dont la combinaison n’apparaît jamais au niveau naturel, en déclarant : « Cela ne peut être réalisé qu’en laboratoire ». (5) Et Nikolai Filatov, le directeur des services épidémiologiques de Moscou, a été cité dans le quotidien Gazeta pour avoir déclaré qu’il pensait que le SRAS était de fabrication humaine parce « qu’il n’existe pas de vaccin pour ce virus, sa composition n’est pas claire, il n’est pas très répandu et la population n’est pas immunisée contre celui-ci ». (6) (7)
Cela n’a pas été largement publié à l’époque, mais il semble que la conclusion des biochimistes Chinois ait été la même, que le SRAS était de fabrication humaine. Cette conclusion n’avait rien de secret, mais elle n’a pas été communiquée aux médias internationaux parce qu’ils s’en seraient servis pour jeter l’opprobre sur la Chine, en la qualifiant de théorie de la conspiration. Les médias Occidentaux ont totalement ignoré cet aspect, mis à part ABC News qui a mentionné que le « Mystérieux Virus » du SRAS était probablement « une arme bactériologique Chinoise qui a fuité du laboratoire par accident ». C’est gentil de la part d’ABC de le faire remarquer, mais leur hypothèse, si elle est exacte, constituerait un premier cas d’un pays créant et diffusant une arme bactériologue ethnique destinée à s’attaquer exclusivement à lui-même.
Il est donc remarquable, qu’alors que le SRAS s’est étendu ensuite à 40 pays, dans la plupart des pays les infections étaient rares, les morts avoisinent zéro, et ce sont exclusivement (ou presqu’exclusivement) des Chinois qui ont été infectés, ceux de Hong Kong plus sérieusement que d’autres, le continent Chinois étant peu affecté en comparaison.
Cela semble précisément être le cas avec ce nouveau virus, étant donné que la plupart des personnes infectées (jusqu’ici) sont des Chinois. Les informations parlent d’infections apparaissant en Thaïlande ou aux Etats-Unis, mais il s’agit (du moins à la date de parution de l’article) uniquement de Chinois qui avaient séjourné à Wuhan. Il n’y a pas eu jusqu’ici de cas d’infection de Caucasiens.
Comme pour le SRAS, ce nouveau virus semble étroitement cibler les Chinois. A ce stade, il est trop tôt pour tirer des conclusions spécifiques.
En d’autres circonstances, nous ne saurions y voir qu’une fâcheuse coïncidence, mais quelques incidents majeurs circonstanciels nous incitent à changer de point de vue. L’un d’eux est l’installation en Chine ces dernières années, de certaines universités et d’ONG Américaines pour conduire des expériences biologiques, lesquelles étaient si complètement illégales qu’elles ont provoqué la colère des autorités Chinoises. C’est particulièrement vrai lorsqu’on a appris que l’Université de Harvard avait secrètement procédé en Chine à des expériences précédemment interdites par les autorités durant des années, au cours desquelles les laboratoires ont collecté des centaines de milliers d’échantillons d’ADN Chinois avant de quitter le pays. (8) (9) (10) (11) (12)
Les Chinois ont été furieux d’apprendre que les Américains collectaient de l’ADN Chinois. Le gouvernement est intervenu pour interdire toute exportation ultérieure de ces données. La conclusion à l’époque a été que les « recherches » avaient été commanditées par les militaires Américains, afin que les échantillons d’ADN servent la recherche sur des armes bactériologiques ethniques.
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Dans une thèse sur les Armes Bactériologiques, Leonard Horowitz et Zygmunt Dembek ont indiqué qu’un indice évident d’un agent de guerre bactériologique issu de l’ingénierie génétique était une maladie provoquée par un agent inhabituel (non usuel, rare ou unique), qui n'a pas d’explication épidémiologique. C’est-à-dire aucune source identifiable. Ils ont également mentionné une « éruption et/ou une diffusion géographique inhabituelles », dont la spécificité ethnique pourrait être un exemple. (13)
Les récentes éruptions de maladies infectieuses qui pourraient être qualifiées d’agents de guerre bactériologique sont potentiellement : le SIDA, le SRAS, le SRMO, la grippe aviaire, la grippe porcine, l’hantavirus, la maladie de Lyme, le Virus du Nil Occidental, Ebola, la poliomyélite (Syrie), la fièvre aphteuse, le Syndrome de la Guerre du Golfe et ZIKA. Et en fait, des milliers d’éminents scientifiques, médecins, virologues et épidémiologistes des 4 continents sont arrivés à la conclusion que tous ces virus avaient été conçus en laboratoire et diffusés délibérément. La récente épidémie de grippe porcine en Chine présente également les mêmes caractéristiques, les circonstances de son éruption et les preuves soulevant de nombreuses questions.
Il y a eu un autre fait étrange dans ce cas particulier, en plus des critiques habituelles sur la passivité et la culture du secret des autorités Chinoises, plusieurs médias Américains ont repris les accusations « d’un officiel du Département d’Etat Américain », déclarant que Washington était « toujours préoccupé » par le niveau de transparence du gouvernement Chinois concernant le coronavirus de Wuhan. D’autres articles ont mentionné que le CDC* Américain était « préoccupé par le fait que les autorités sanitaires Chinoises n’aient toujours pas communiqué officiellement les données épidémiologiques sur l’éruption du coronavirus de Wuhan, ce qui rend difficile d’endiguer l’épidémie ». Il n’y a pas de raison probante pour que le Département d’Etat des Etats-Unis, à quelque niveau que ce soit, se préoccupe de l’éruption d’un virus dans un pays étranger.
* Le CDC (Center for Disease Control) est une agence du gouvernement américain située en Géorgie et chargée de la prévention, de l'étude et du contrôle des maladies (centre épidémiologique).
Leurs critiques étaient très étonnamment détaillées, demandant des données spécifiques sur le nombre d’infections résultant du contact direct sur le marché de Wuhan, le nombre d’infections résultant de la transmission de personne à personne, la période d’incubation précise d’exposition à l’origine des symptômes, le moment où les personnes deviennent contagieuses. Les questions étaient présentées en termes bienveillantes dans le but d’aider les autorités médicales Chinoises à traiter le virus, bien qu’il se soit avéré que la Chine n’ait pas de leçons à recevoir en la matière.
A la date de rédaction de cet article, les détails étaient encore trop rares pour élaborer des conclusions définitives, mais dans chaque cas de ce genre, une fois que la fumée se dissipe, il reste de nombreuses questions sans réponses qui défient le récit officiel Occidental, mais cela n’est plus nouveau et les médias ont déjà prévu de passer à autre chose afin que l’affaire sorte de la tête du public Occidental, mais pas en Chine.
Larry Romanoff est un consultant en management et un homme d’affaires à la retraite. Il a occupé des postes de direction dans des sociétés de conseil internationales, et avait une société d’import-export internationale. Il a été professeur invité à l’Université Fudan de Shanghai, présentant des études de cas en affaires internationales à des classes de EMBA (Maîtrise d’Administration des Affaires pour Cadres). M. Romanov vit à Shanghai et écrit actuellement une série de dix livres sur les relations entre la Chine et l’Occident. Il peut être contacté sur : 2186604556@qq.com
Notes / légendes :
(1) The Wuhan virus is the last thing China’s economy needs …
https://www.cnn.com/2020/01/23/economy/wuhan-coronavirus-china-economy/index.html
(2) u2.lege.net/whale.to/c/cantwell_alan.html
(8) The Harvard case of Xu Xiping: exploitation of the people, scientific advance, or genetic theft?
Margaret Sleeboom; Amsterdam School of Social Science Research, University of Amsterdam and International Institute for Asian Studies, University of Leiden, The Netherlands
Routlege; Taylor & Francis group; New Genetics and Society, Vol. 24, No. 1, April 2005
(13) Medical Aspects of Biological Warfare; https://repository.netecweb.org/items/show/325
La source originale de cet article est Global Research CA
Copyright © Larry Romanoff, Global Research, 2020
Article sur le même sujet :
Traduction française : Patrick T rev Isabelle

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