Global Research, le 25 janvier 2020
Les grands médias Occidentaux
ont traité le sujet du nouveau coronavirus qui s’est déclaré dans la ville de
Wuhan dans le centre de la Chine, mais à part de petits détails répétitifs et
l’habituel dénigrement sur la Chine, ils se sont peu intéressés aux
circonstances. Mon commentaire initial se compose ici d’un mélange de près
d’une centaine d’articles de la presse Occidentale, principalement de ABC, CBS,
CNN, de l’AFP, et de certains médias Chinois. Officiellement appelé le nouveau
coronavirus (2019-nCoV), la contagion est une infection des voies
respiratoires, un nouveau type de pneumonie virale, de la même famille que des infections
comme le SRAS* et le SRMO**.
*Le syndrome respiratoire aigu
sévère lié au coronavirus ou plus simplement syndrome respiratoire aigu sévère
(SRAS) est une maladie infectieuse des poumons (pneumonie) due au virus
SARS-CoV de la famille des coronavirus.
**Le coronavirus du syndrome
respiratoire du Moyen-Orient (SRMO, en anglais MERS) est le nom
d'un variant de coronavirus hautement pathogène découvert en 2012, provoquant
en particulier un symptôme de pneumonie aiguë
Au moment de la rédaction de cet article, les autorités
médicales Chinoises avaient annoncé 830 cas d’infections virales confirmées
dans 29 provinces régionales du pays, et 25 décès, principalement parmi des
personnes âgées souffrant déjà de maladies et se trouvant peut-être en mauvaise
condition physique. Quelques cas ont été détectés dans d’autres pays : la
Thaïlande, la Corée, Singapour, le Vietnam, les Etats-Unis, le Japon, qui
concernaient tous des Chinois s’étant rendus à Wuhan. Initialement, le virus ne
semblait pas se répandre entre humains, mais pourrait avoir muté lorsque 15
membres du personnel médical ont contracté l’infection virale transmise par d’autres malades. On est
toujours dans l’incertitude quant à la facilité avec laquelle il se transmet
d’un individu infecté à un autre.
Les premiers symptômes étaient bénins, ce qui a permis à
de nombreuses personnes de voyager avant que des symptômes plus graves ne
soient détectés. Leur première apparition en décembre n’a suscité que peu de
préoccupations. La période d’incubation n’a pas encore été définie, mais une
fois que les infections ont commencé, cela s’est répandu rapidement après la
confirmation du premier cas le 31 décembre : puis, 44 cas le 3 janvier,
225 cas le 21 janvier, 830 cas le 24 janvier. Les autorités sanitaires et
médicales de la région ont déclaré que la véritable étendue du coronavirus de
Wuhan n’était pas connue, et les premiers chiffres officiels ont pu être été
sous-évalués étant donné que les symptômes bénins et le délai d’incubation
signifient que des infections n’ont pu être détectées.
Les premiers indices laissent supposer que les autorités
Chinoises ont agi avec efficacité dès qu’elles ont pris conscience du danger à
venir. Les autorités médicales ont immédiatement déclaré l’épidémie, et en une
semaine l’agent pathogène a été clairement identifié. Ils ont pu déterminer la
séquence du génome à l’OMS et à des tiers, soit une réaction suffisamment
rapide pour leur valoir des félicitations bien méritées de la part de l’OMS et
des scientifiques du monde entier.
Se rappelant les désordres provoqués par le SRAS, elles
ont pris des mesures supplémentaires. Dans la plupart des grandes villes du
pays, tous les stades, salles de spectacles, musées, attractions touristiques,
tous les lieux qui attirent les foules, ont été fermés, tout comme l’ensemble
des écoles. Tous les voyages, et groupes touristiques ont été annulés. Non
seulement la ville de Wuhan, mais quasiment la province du Hubei tout entière a
été mise en quarantaine. Tous les trains, bus, métros, ferrys, sont immobilisés
et toutes les autoroutes principales et péages sont fermés. Des milliers de
vols des compagnies aériennes et de voyages en train ont été annulés jusqu’à
nouvel ordre. Certaines villes comme Shanghai et Pékin procèdent à des relevés
de température du corps sur toutes les routes qui conduisent dans la ville. De
plus, Wuhan est en train de construire (en cinq jours) un hôpital provisoire de
25 000 m² pour traiter les patients infectés. Wuhan a également demandé à
ses habitants de ne pas quitter ou d’entrer dans la ville sans une raison
majeure et tout le monde porte des masques préventifs sur le visage.
Le défi de faire respecter ce genre de mise en
quarantaine est immense, comparable à celui de fermer toutes les lignes de
transport pour une ville qui a 5 fois la taille de Toronto ou Chicago, deux
jours avant Noël. Ces décisions sont sans précédents, mais témoignent de la
détermination des autorités pour limiter la propagation et les dommages
éventuels de ce nouveau virus. Elles ne se préoccupent pas seulement de la
gravité de la situation, mais prennent également sérieusement en compte la
santé publique, des décisions malheureuses et difficiles qui ont entravé la
célébration du Nouvel An Chinois par des centaines de millions de personnes. La
plupart des spectacles ont été annulés, ainsi que des voyages et de nombreux
mariages. Les dommages conséquents sur l’économie
au cours de cette période, la plus festive de l’année, seront également
considérables. Hong Kong sera sérieusement touché, en plus de tous les autres
incidents, étant donné que ce sont les visites des Chinois du continent qui
font vivre l’essentiel de son commerce de détail au cours de cette période.
Le Nouvel An Chinois est la fête la plus importante pour
les Chinois. Le samedi 25 janvier est le premier jour du Nouvel An Lunaire, une
période de festivités qui est la plus grande période de vacances et de
déplacements sur la planète ; lorsque les Chinois retournent vers leur
lieu de naissance pour se retrouver en famille. Aucune autorité sanitaire n’a
jamais relevé le défi actuel de la Chine, un pays aux prises avec un nouveau
coronavirus alors que des centaines de millions de personnes se préparent à
voyager.
Et bien sûr les médias Occidentaux se sont fait une joie
de se réjouir du malheur des autres. CNN a publié un reportage – un peu trop joyeux
à mon sens – sur les dégâts potentiels pour l’économie Chinoise : (1)
« L’économie Chinoise ralentit et le pays souffre
toujours des effets de la guerre commerciale avec l’Amérique. L’éruption d’un
nouveau virus mortel est la dernière chose dont elle avait besoin. Le
coronavirus de Wuhan avait déjà perturbé les marchés Chinois et provoqué le
chaos pour les projets du Nouvel An Lunaire de millions de personnes. La
deuxième économie mondiale a connu la plus faible croissance économique en près
de trois décennies l’année dernière, en étant confrontée à une dette
grandissante, une demande intérieure en baisse et des droits d’importations douanière
Américaines en œuvre malgré la trêve récente. Pékin est également préoccupé par
le chômage, et a annoncé une série de mesures incitatives ces dernières
semaines, pour prévenir des licenciements massifs … L’éruption du
coronavirus de Wuhan pourrait répandre la peur et inciter les gens à se replier
sur eux-mêmes et éviter de sortir de chez eux. Ce genre de comportement porterait
un coup dur au secteur des services, qui représente maintenant près de 52 % de
l’économie Chinoise ». [Et ainsi de suite . . .]
Les médias Occidentaux ont déjà défini les enjeux
fondamentaux, toutes les sources médiatiques prétendant que le virus a été
transmis à l’homme par des animaux ou des fruits de mer. Les médias ont encore
jeté de l’huile sur le feu en affirmant que le virus provient « de gibier
vendu illégalement » sur un marché « où l’offre comprend du gibier
qui peut être porteur de virus dangereux pour l’homme », et que ce virus
« s’est transmis à la population humaine à partir d’un animal
infecté ». Les officiels Chinois ont déclaré que le virus semblait
provenir d’un marché aux poissons de Wuhan, bien que son origine n’ait pas été
déterminée ni confirmée par les autorités, et qu’il s’agit toujours d’une
question non résolue étant donné que les virus franchissent les barrières
d’espèces sans assistance humaine.
Bien qu’il n’y ait pas de preuve de guerre
bactériologique, l’éruption d’un virus dans la ville de Wuhan juste avant la
migration du Nouvel An Chinois pourrait avoir des répercussions sociales et
économiques dramatiques. Wuhan, avec une population de 12 millions, est
carrefour majeur au centre de la Chine, particulièrement pour le réseau de
trains à grande vitesse, et avec plus de 60 corridors aériens offrant des vols
directs vers la plupart des grandes villes du monde, ainsi que plus de 100 vols
domestiques vers les grandes villes Chinoises. Lorsque nous ajoutons à cela le
grand rush du Festival de Printemps au cours duquel des centaines de millions
de gens traversent le pays pour se retrouver en famille, les conséquences
potentielles pour le pays tout entier sont d’une grande portée.
Comparaison avec le SRAS
Il s’agit d’un nouveau Coronavirus (2019-nCoV), une
souche entièrement nouvelle de la famille des virus du SRMO (MERS- CoV) et du
SRAS (SARS-CoV), bien que les premières analyses suggèrent qu’il ne soit pas
dangereux.
Il a été prouvé que le SRAS est provoqué par une souche
de coronavirus, une grande famille de virus en grande partie inoffensifs
également responsables du rhume des foins, mais le SRAS a montré des
caractéristiques jamais observées sur un virus d’origine animale ou humaine,
lequel ne correspond pas non plus aux virus d’origine animale mentionnés
précédemment, et contient du matériel génétique qui n’est toujours pas
identifié – similaire à ce nouveau coronavirus de 2019.
Le virologue Alain Cantwell a indiqué à l’époque
que « le mystérieux virus SRAS est un nouveau virus jamais observé par les
virologues. Il s’agit d’une maladie entièrement nouvelle provoquant des effets
dévastateurs sur le système immunitaire, et pour lequel il n’y a pas de
traitement connu ». Le Dr. Cantwell a aussi remarqué que l’ingénierie génétique
des coronavirus a été expérimentée par des laboratoires médicaux et militaires
depuis des décennies. Il a écrit que lorsqu’il a fait une recherche dans PubMed
pour le terme « ingénierie génétique du coronavirus », il a obtenu
107 références à des expériences scientifiques remontant à 1987. Pour citer le
Dr. Cantwell :
« J’ai rapidement eu confirmation que les
scientifiques avaient procédé à l’ingénierie génétique de coronavirus chez
l’animal et l’homme pour produire des virus mutants et recombinants pathogènes
depuis plus d’une décennie. Pas étonnant que les scientifiques de l’OMS aient
si rapidement identifié le SRAS/coronavirus. Ce que les journalistes médicaux ne
soulignent jamais c’est le fait que pendant plus de quarante ans, les
scientifiques ont fait « franchir la barrière de l’espèce » à toutes
sortes de virus d’origine animale et humain. Ils ont créé des virus chimères
(des virus composés de virus de deux espèces différentes). Cette recherche sans
garde-fou produit des virus de fabrication humaine dangereux, dont beaucoup ont
le potentiel de devenir des armes bactériologiques. Assurément, le SRAS a
toutes les caractéristiques d’une arme bactériologique. Après tout, les
nouveaux agents de la guerre bactériologique n’ont-ils pas été conçus pour
provoquer une nouvelle maladie avec un nouvel agent infectieux ? Comme
dans de précédentes expériences militaires, tout ce qu’il faut … pour répandre
le SRAS est une bombe aérosol … » (2) (3) (4)
Presqu’immédiatement après avoir obtenu la séquence du
génome, plusieurs scientifiques Russes ont émis l’hypothèse d’un lien entre le
SRAS et la guerre bactériologique. Sergei Kolesnikov, un membre de
l’Académie des Sciences Médicales Russe, a déclaré que la propagation du virus
SRAS pourrait avoir été une fuite d’un virus de combat élaboré dans les
laboratoires d’armes bactériologiques. Selon plusieurs articles, Kolesnikov a
indiqué que le virus de pneumonie atypique (SRAS) était la synthèse de deux
virus (de la rougeole et de la parotidite infectieuse ou oreillons), dont la
combinaison naturelle est impossible, et dont la combinaison n’apparaît jamais au
niveau naturel, en déclarant : « Cela ne peut être réalisé qu’en
laboratoire ». (5) Et Nikolai Filatov, le directeur des services
épidémiologiques de Moscou, a été cité dans le quotidien Gazeta pour avoir
déclaré qu’il pensait que le SRAS était de fabrication humaine parce
« qu’il n’existe pas de vaccin pour ce virus, sa composition n’est pas
claire, il n’est pas très répandu et la population n’est pas immunisée contre
celui-ci ». (6) (7)
Cela n’a pas été largement publié à l’époque, mais il
semble que la conclusion des biochimistes Chinois ait été la même, que le SRAS
était de fabrication humaine. Cette conclusion n’avait rien de secret, mais
elle n’a pas été communiquée aux médias internationaux parce qu’ils s’en
seraient servis pour jeter l’opprobre sur la Chine, en la qualifiant de théorie
de la conspiration. Les médias Occidentaux ont totalement ignoré cet aspect, mis
à part ABC News qui a mentionné que le « Mystérieux Virus » du SRAS
était probablement « une arme bactériologique Chinoise qui a fuité du
laboratoire par accident ». C’est gentil de la part d’ABC de le faire
remarquer, mais leur hypothèse, si elle est exacte, constituerait un premier
cas d’un pays créant et diffusant une arme bactériologue ethnique destinée à
s’attaquer exclusivement à lui-même.
Il est donc remarquable, qu’alors que le SRAS s’est
étendu ensuite à 40 pays, dans la plupart des pays les infections étaient rares,
les morts avoisinent zéro, et ce sont exclusivement (ou presqu’exclusivement)
des Chinois qui ont été infectés, ceux de Hong Kong plus sérieusement que
d’autres, le continent Chinois étant peu affecté en comparaison.
Cela semble précisément être le cas avec ce nouveau
virus, étant donné que la plupart des personnes infectées (jusqu’ici) sont des
Chinois. Les informations parlent d’infections apparaissant en Thaïlande ou aux
Etats-Unis, mais il s’agit (du moins à la date de parution de l’article) uniquement
de Chinois qui avaient séjourné à Wuhan. Il n’y a pas eu jusqu’ici de cas
d’infection de Caucasiens.
Comme pour le SRAS, ce nouveau virus semble étroitement
cibler les Chinois. A ce stade, il est trop tôt pour tirer des conclusions
spécifiques.
En d’autres circonstances, nous ne saurions y voir qu’une
fâcheuse coïncidence, mais quelques incidents majeurs circonstanciels nous
incitent à changer de point de vue. L’un d’eux est l’installation en Chine ces
dernières années, de certaines universités et d’ONG Américaines pour conduire
des expériences biologiques, lesquelles étaient si complètement illégales
qu’elles ont provoqué la colère des autorités Chinoises. C’est particulièrement
vrai lorsqu’on a appris que l’Université de Harvard avait secrètement procédé en
Chine à des expériences précédemment interdites par les autorités durant des
années, au cours desquelles les laboratoires ont collecté des centaines de
milliers d’échantillons d’ADN Chinois avant de quitter le pays. (8) (9) (10)
(11) (12)
Les Chinois ont été furieux d’apprendre que les
Américains collectaient de l’ADN Chinois. Le gouvernement est intervenu pour
interdire toute exportation ultérieure de ces données. La conclusion à l’époque
a été que les « recherches » avaient été commanditées par les
militaires Américains, afin que les échantillons d’ADN servent la recherche sur
des armes bactériologiques ethniques.
00
Dans une thèse sur les Armes Bactériologiques, Leonard
Horowitz et Zygmunt Dembek ont indiqué qu’un indice
évident d’un agent de guerre bactériologique issu de l’ingénierie génétique
était une maladie provoquée par un agent inhabituel (non usuel, rare ou
unique), qui n'a pas d’explication épidémiologique. C’est-à-dire aucune source
identifiable. Ils ont également mentionné une « éruption et/ou une
diffusion géographique inhabituelles », dont la spécificité ethnique
pourrait être un exemple. (13)
Les récentes éruptions de maladies infectieuses qui pourraient
être qualifiées d’agents de guerre bactériologique sont potentiellement :
le SIDA, le SRAS, le SRMO, la grippe aviaire, la grippe porcine, l’hantavirus,
la maladie de Lyme, le Virus du Nil Occidental, Ebola, la poliomyélite (Syrie),
la fièvre aphteuse, le Syndrome de la Guerre du Golfe et ZIKA. Et en fait, des
milliers d’éminents scientifiques, médecins, virologues et épidémiologistes des
4 continents sont arrivés à la conclusion que tous ces virus avaient été conçus
en laboratoire et diffusés délibérément. La récente épidémie de grippe porcine
en Chine présente également les mêmes caractéristiques, les circonstances de
son éruption et les preuves soulevant de nombreuses questions.
Il y a eu un autre fait étrange dans ce cas particulier,
en plus des critiques habituelles sur la passivité et la culture du secret des
autorités Chinoises, plusieurs médias Américains ont repris les accusations
« d’un officiel du Département d’Etat Américain », déclarant que
Washington était « toujours préoccupé » par le niveau de transparence
du gouvernement Chinois concernant le coronavirus de Wuhan. D’autres articles
ont mentionné que le CDC* Américain était « préoccupé par le fait que les
autorités sanitaires Chinoises n’aient toujours pas communiqué officiellement
les données épidémiologiques sur l’éruption du coronavirus de Wuhan, ce qui
rend difficile d’endiguer l’épidémie ». Il n’y a pas de raison probante
pour que le Département d’Etat des Etats-Unis, à quelque niveau que ce soit, se
préoccupe de l’éruption d’un virus dans un pays étranger.
* Le CDC (Center for
Disease Control) est une agence du gouvernement américain située en Géorgie et
chargée de la prévention, de l'étude et du contrôle des maladies (centre
épidémiologique).
Leurs critiques étaient très étonnamment détaillées,
demandant des données spécifiques sur le nombre d’infections résultant du contact
direct sur le marché de Wuhan, le nombre d’infections résultant de la
transmission de personne à personne, la période d’incubation précise
d’exposition à l’origine des symptômes, le moment où les personnes deviennent
contagieuses. Les questions étaient présentées en termes bienveillantes dans le
but d’aider les autorités médicales Chinoises à traiter le virus, bien qu’il se
soit avéré que la Chine n’ait pas de leçons à recevoir en la matière.
A la date de rédaction de cet article, les détails
étaient encore trop rares pour élaborer des conclusions définitives, mais dans
chaque cas de ce genre, une fois que la fumée se dissipe, il reste de
nombreuses questions sans réponses qui défient le récit officiel Occidental,
mais cela n’est plus nouveau et les médias ont déjà prévu de passer à autre
chose afin que l’affaire sorte de la tête du public Occidental, mais pas en
Chine.
Larry Romanoff est un consultant en management et un homme d’affaires à
la retraite. Il a occupé des postes de direction dans des sociétés de conseil
internationales, et avait une société d’import-export internationale. Il a été professeur
invité à l’Université Fudan de Shanghai, présentant des études de cas en
affaires internationales à des classes de EMBA (Maîtrise d’Administration des
Affaires pour Cadres). M. Romanov vit à Shanghai et écrit actuellement une
série de dix livres sur les relations entre la Chine et l’Occident. Il peut
être contacté sur : 2186604556@qq.com
Notes / légendes :
(2)
u2.lege.net/whale.to/c/cantwell_alan.html
(8) The Harvard case of Xu
Xiping: exploitation of the people, scientific advance, or genetic theft?
Margaret Sleeboom; Amsterdam School of Social Science Research, University of
Amsterdam and International Institute for Asian Studies, University of Leiden,
The Netherlands
Routlege; Taylor & Francis group; New Genetics and Society, Vol. 24, No. 1,
April 2005
La source originale de cet article est Global Research CA
Article sur le même sujet :
Traduction française : Patrick T rev Isabelle
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