GIULIETTO CHIESA

WWIII

 

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What part will your country play in World War III?

By Larry Romanoff

 

The true origins of the two World Wars have been deleted from all our history books and replaced with mythology. Neither War was started (or desired) by Germany, but both at the instigation of a group of European Zionist Jews with the stated intent of the total destruction of Germany. The documentation is overwhelming and the evidence undeniable. (1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8) (9) (10) (11)

 

That history is being repeated today in a mass grooming of the Western world’s people (especially Americans) in preparation for World War IIIwhich I believe is now imminent. It is evident that War Clouds are gathering. The signs are everywhere, with media coverage and open talk of war in many countries. The RAND Corporation have for years been preparing military scenarios for World War III, and NATO is reported to be currently doing so. Vast movements of NATO troops and equipment are either in preparation or process to surround Russia. The US is surrounding China with military bases including the world's largest in Guam. Both China and Russia are surrounded with nearly 400 US biological weapons labs. Iran is entirely vulnerable from the American military build-up in the Middle East.

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FREE JULIAN ASSANGE

Thursday, August 9, 2018

Thierry Meyssan -- Comment Poutine et Trump mettent fin à la guerre contre la Syrie

Comment Poutine et Trump mettent fin à la guerre contre la Syrie

La presse occidentale continue à soutenir les élites financières transnationales et à tenter de déconsidérer l’action du président Trump. Cette attitude rend difficilement compréhensibles les progrès entrepris vers la paix en Syrie. Thierry Meyssan revient sur les accords conclus au cours des cinq derniers mois et les avancées rapides sur le terrain.
 | DAMAS (SYRIE)  
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C’est avec prudence et détermination que la Fédération de Russie et le président Trump mettent définitivement fin à la domination du monde par des intérêts transnationaux.
Convaincu que l’équilibre des puissances ne dépend pas de leurs capacités économiques, mais militaires, le président Poutine a certes restauré le niveau de vie de ses concitoyens, mais il a développé l’Armée rouge avant de les enrichir. Le 1er mars, il révélait au monde les principales armes de son arsenal et le début de son programme de développement économique.
Dans les jours qui suivirent, la guerre se concentra sur la Ghouta orientale. Le chef d’état-major russe, le général Valeri Guérassimov, téléphona à son homologue US, le général Joseph Dunford. Il lui annonça qu’en cas d’intervention militaire US, les forces russes cibleraient les 53 navires US de la Méditerranée et du Golfe, y compris leurs 3 portes-avions à propulsion nucléaire. Surtout, il lui enjoignit d’informer le président Trump des nouvelles capacités militaires de son pays.
En définitive, les États-Unis laissèrent l’Armée arabe syrienne et quelques fantassins russes libérer la Ghouta des jihadistes qui l’occupaient.
Seul le Royaume-Uni tenta d’anticiper les événements en organisant l’« affaire Skripal » : si l’ordre mondial actuel s’effondre, il faut rétablir la rhétorique de la Guerre froide opposants les gentils cow-boys et les méchants ours russes.
En juin, lorsque l’Armée arabe syrienne, soutenue par l’aviation russe, se déplaçait vers le Sud du pays, l’ambassade US en Jordanie prévenait les jihadistes que, désormais, ils devraient se défendre seuls, sans aide ni soutien du Pentagone et de la CIA.

Le 16 juillet à Helsinki, les présidents Poutine et Trump allaient beaucoup plus loin. Ils abordaient la question de la reconstruction, c’est-à-dire des dommages de guerre. Donald Trump, nous l’avons souvent écrit ici depuis deux ans, est opposé à l’idéologie puritaine, au capitalisme financier et à l’impérialisme qui en découle. Il estime à juste titre que son pays n’a pas à endosser les conséquences des crimes de ses prédécesseurs dont son peuple a lui aussi été victime. Il affirme que ces crimes ont été commis à l’instigation, et au profit, des élites financières transnationales. Il considère donc que c’est à elles de payer, même si personne ne sait précisément comment les y contraindre.
Les deux présidents sont également convenus de faciliter le retour des réfugiés. Ce faisant, Donald Trump a renversé la rhétorique de son prédécesseur selon laquelle ils fuyaient la « répression de la dictature » et non pas l’invasion des jihadistes.
Alors que dans le Sud du pays, les jihadistes fuyaient à leur tour devant les forces syriennes et russes, et que quelques unités désespérées de Daesh commettaient des atrocités inimaginables, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergeï Lavrov, et le chef d’état-major russe, Valeri Guérassimov, entreprenaient une tournée européenne et moyen-orientale.
Ils étaient reçus le plus discrètement possible dans l’Union européenne. En effet, selon le discours occidental le général Guérassimov est un conquérant qui a envahi et annexé la Crimée. Il est donc interdit d’accès dans l’Union, défenseuse auto-proclamée de « l’état de droit ». Malheureusement comme il était trop tard pour retirer son nom de la liste des sanctions, l’Union décida de fermer les yeux sur ses grands principes et de laisser exceptionnellement entrer le héros de la réunification de la Crimée et de la Russie. La honte qui saisit les dirigeants ouest-européens face à leur hypocrisie explique l’absence de photographies officielles des audiences accordées à la délégation russe.
À chacun de ses interlocuteurs, la délégation russe résuma quelques décisions du sommet d’Helsinki. Faisant preuve de sagesse, elle s’abstint de demander des comptes sur le rôle de chaque État durant la guerre et les appela au contraire à aider à sa fin : retrait des forces spéciales, arrêt de la guerre secrète, suppression de l’aide aux jihadistes, retour des réfugiés, réouverture des ambassades. Elle affirma notamment que chacun pourrait participer à la reconstruction sans exclusive.
Sitôt la délégation partie, la chancelière Angela Merkel et le président Emmanuel Macron firent ingénument interroger le Pentagone pour savoir s’il était vrai que le président Donald Trump comptait faire payer certaines compagnies transnationales (KKR, Lafarge, etc.) —juste pour semer le trouble outre-Atlantique—. Cette attitude du président Macron, ancien cadre bancaire, est d’autant plus déplorable qu’il avait tenu à symboliser sa bonne foi en offrant 44 tonnes d’aide humanitaire à la population syrienne, transmises par l’armée russe.
Au Moyen-Orient, le voyage de la délégation russe fut plus couvert par les médias. Lavrov et Guérassimov purent annoncer la création de cinq commissions pour le retour des réfugiés. Chacune, en Égypte, au Liban, en Turquie, en Iraq et en Jordanie, comprend des représentants de l’État hôte et des délégués russes et syriens. Personne n’a osé poser la question qui fâche : pourquoi une telle commission n’a-t-elle pas été constituée avec l’Union européenne ?
Concernant la réouverture des ambassades, les Émirats arabes unis ont pris les « Occidentaux » et leurs alliés de court en négociant la réouverture de la leur.
Restait la préoccupation des Israéliens d’obtenir le départ de Syrie des conseillers militaires iraniens et des milices pro-iraniennes, dont le Hezbollah. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a multiplié les allers-retours à Moscou et Sotchi pour plaider sa cause. On se souvient que Guérassimov avait ironisé sur le culot des vaincus israéliens exigeant le départ des vainqueurs iraniens. Lavrov, quant à lui, s’était diplomatiquement retranché derrière un refus de principe de ne pas s’ingérer dans la souveraineté syrienne.
La Russie a résolu le problème : la police militaire russe a réinstallé les forces de l’Onu le long de la ligne de démarcation syro-israélienne, dont elles avaient été chassées il y a quatre ans. Durant toute cette période, elles avaient été remplacées par Al-Qaïda, soutenu par Tsahal. La Russie a en outre installé en arrière de la ligne de démarcation, en territoire syrien, huit postes d’observation militaire. De la sorte, Moscou peut à la fois garantir à l’Onu et à la Syrie que les jihadistes ne reviendront pas et à Israël que l’Iran ne l’attaquera pas depuis la Syrie.
Israël, qui jusqu’ici misait sur la défaite de la République arabe syrienne et qualifiait son président de « boucher », a subitement admis par la voix de son ministre de la Défense, Avigdor Liberman, que la Syrie sortait vainqueur du conflit et que le président el-Assad était son chef légitime. Pour manifester sa bonne volonté, Liberman a fait bombarder un groupe de Daesh que jusqu’ici il soutenait en sous-main.
Petit à petit, la Fédération de Russie et la Maison-Blanche remettent de l’ordre dans les relations internationales et convainquent divers protagonistes de se retirer de la guerre, voire de postuler pour la reconstruction. De son côté, l’Armée arabe syrienne poursuit la libération de son territoire. Il reste au président Trump à parvenir à retirer ses troupes du Sud (Al-Tanf) et du Nord du pays (Est de l’Euphrate) et au président Erdoğan à abandonner à leur sort les jihadistes réfugiés au Nord-Ouest (Idleb).
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Discurso do Presidente da Rússia, Vladimir Putin, na manhã do dia 24 de Fevereiro de 2022

Discurso do Presidente da Rússia, Vladimir Putin, Tradução em português




Presidente da Rússia, Vladimir Putin: Cidadãos da Rússia, Amigos,

Considero ser necessário falar hoje, de novo, sobre os trágicos acontecimentos em Donbass e sobre os aspectos mais importantes de garantir a segurança da Rússia.

Começarei com o que disse no meu discurso de 21 de Fevereiro de 2022. Falei sobre as nossas maiores responsabilidades e preocupações e sobre as ameaças fundamentais que os irresponsáveis políticos ocidentais criaram à Rússia de forma continuada, com rudeza e sem cerimónias, de ano para ano. Refiro-me à expansão da NATO para Leste, que está a aproximar cada vez mais as suas infraestruturas militares da fronteira russa.

É um facto que, durante os últimos 30 anos, temos tentado pacientemente chegar a um acordo com os principais países NATO, relativamente aos princípios de uma segurança igual e indivisível, na Europa. Em resposta às nossas propostas, enfrentámos invariavelmente, ou engano cínico e mentiras, ou tentativas de pressão e de chantagem, enquanto a aliança do Atlântico Norte continuou a expandir-se, apesar dos nossos protestos e preocupações. A sua máquina militar está em movimento e, como disse, aproxima-se da nossa fronteira.

Porque é que isto está a acontecer? De onde veio esta forma insolente de falar que atinge o máximo do seu excepcionalismo, infalibilidade e permissividade? Qual é a explicação para esta atitude de desprezo e desdém pelos nossos interesses e exigências absolutamente legítimas?

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Before the Presidential Address to the Federal Assembly.



The President of Russia delivered
the Address to the Federal Assembly. The ceremony took
place at the Manezh Central Exhibition Hall.


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President of Russia Vladimir Putin:

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Address to the Nation.

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