The true origins of the two World Wars have been deleted from all our history books and replaced with mythology. Neither War was started (or desired) by Germany, but both at the instigation of a group of European Zionist Jews with the stated intent of the total destruction of Germany. The documentation is overwhelming and the evidence undeniable. (1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8) (9) (10) (11)
That history is being repeated today in a mass grooming of the Western world’s people (especially Americans) in preparation for World War III – which I believe is now imminent.
FR -- Manlio Dinucci -- Le Traité FNI enterré, les niveaux euromissiles arrivent
Le Traité FNI enterré, les noveaux
euromissiles arrivent. L’Europe
complice Manlio Dinucci
Le secrétaire d’état Mike Pompeo a
annoncé le 2 août 2019, après six mois de suspension, le retrait définitif des
États-Unis du Traité sur les Forces nucléaires intermédiaires (INF ou FNI),
accusant la Russie de l’avoir “délibérément violé, mettant en danger les
intérêts suprêmes USA”. À cette nouvelle n’a été donné en Italie que très peu
d’écho politique et médiatique (l’Ansa -agence de presse nationale italienne-
ne lui a consacré que quelques lignes). Et pourtant nous sommes devant une
décision qui a de dramatiques implications pour l’Italie, exposée comme
d’autres pays européens à se tenir en premières lignes dans une nouvelle
confrontation nucléaire USA-Russie non moins dangereuse que celle de la guerre
froide.
Le Traité FNI,
signé en 1987 par les présidents Gorbachev et Reagan, élimina tous les missiles
nucléaires à courte portée et à portée intermédiaire (entre 500 et 5 500 Km)
avec base au sol, avant tout les missiles balistiques Pershing 2, déployés par
les États-Unis en Grande-Bretagne, Italie, Allemagne de l’Ouest, Belgique et
Pays-Bas, et en même temps les missiles balistiques SS-20 (appellation
occidentale) basés par l’Union Soviétique sur son propre territoire.
En 2014 l’administration Obama accusait la Russie, sans apporter
aucune preuve, d’avoir expérimenté un missile de croisière (sigle 9M729) de la
catégorie interdite par le Traité et, en 2015, annonçait que “face à la
violation du Traité FNI par la Russie, les États-Unis sont en train de
considérer le déploiement en Europe de missiles avec base au sol”. Le plan a
été confirmé par l’administration Trump : en 2018 le Congrès a autorisé le
financement d’”un programme de recherche et développement d’un missile de
croisière lancé du sol par plate-forme mobile sur route”.
De son côté, Moscou niait que son missile de croisière
violât le Traité et, à son tour, accusait Washington d’avoir installé en
Pologne et Roumanie des rampes de lancement de missiles intercepteurs (ceux du
“bouclier”), qui peuvent être utilisées pour lancer des missiles de croisière à
tête nucléaire. Dans ce cadre il convient de garder à l’esprit le facteur
géographique : tandis qu’un missile nucléaire USA à portée intermédiaire, basé
en Europe, peut frapper Moscou, un missile analogue basé par la Russie sur son
propre territoire peut frapper les capitales européennes, mais pas Washington.
Si l’on inverse le scénario, c’est comme si la Russie déployait des missiles
nucléaires à portée intermédiaire au Mexique.
“Les États-Unis -souligne Mike Pompeo dans sa
déclaration- apprécient grandement la constante coopération et détermination
des alliés OTAN dans leur réponse à la violation russe du Traité”. Appréciation
méritée : les alliés, Italie comprise, ont déclaré la Russie coupable d’avoir
violé le Traité en acceptant les yeux fermés l’accusation faite par les USA
sans aucune preuve réelle.
L’effacement du Traité FNI, suspendu aussi par la Russie
le 3 juillet, s’insère dans une nouvelle course aux armements désormais basée
non tant sur la quantité mais sur la qualité des armes nucléaires et de leurs
vecteurs, et sur leur localisation. Des sources militaires informent que les
États-Unis sont en train de mettre au point de nouveaux missiles nucléaires à
portée intermédiaire avec base au sol, aussi bien de croisière que balistiques
(ceux-ci capables de frapper leurs objectifs à 6-8 minutes du lancement). La
Russie a prévenu que, s’ils sont basés en Europe, elle pointera ses missiles
nucléaires sur les territoires où les missiles USA seront installés.
L’enterrement du Traité FNI a un objectif stratégique
ultérieur. C’est ce qu’a révélé Pompeo lui-même, en accusant la Chine de
déployer (sur son propre territoire) des missiles nucléaires à portée
intermédiaire avec base au sol avec lesquels “elle menace les États-Unis et
leurs alliés en Asie”. Le secrétaire d’état Pompeo prévient ensuite : “Il n’y a
pas de raison que les États-Unis continuent à concéder cet avantage militaire
crucial à des puissances comme la Chine”. Les USA donc se préparent à déployer
de nouveaux missiles nucléaires à portée intermédiaire non seulement contre la
Russie mais aussi contre la Chine. Toutes les deux en mesure de répondre en
déployant de nouvelles armes nucléaires.
Significative la position de la Commission
Européenne, qui a déclaré hier : “Nous encourageons à préserver les résultats
du Traité FNI, nous devons être attentifs à ne pas prendre la voie d’une
nouvelle course aux armements qui réduirait les résultats significatifs
atteints après la fin de la Guerre froide”. Il faut un sacré toupet pour
déclarer cela, après que cette même Union européenne a contribué à l’enterrement
du Traité FNI : à l’Assemblée Générale de l’ONU (21 décembre 2018), l’Union
européenne compacte a rejeté la résolution par laquelle la Russie proposait de
préserver le Traité en établissant des mécanismes de vérification et des
négociations. L’Union européenne a donné ainsi de fait le feu vert à
l’installation de nouveaux missiles nucléaires USA en Europe, Italie comprise.
Discurso do Presidente da Rússia, Vladimir Putin, na manhã do dia 24 de Fevereiro de 2022
Discurso do Presidente da Rússia, Vladimir Putin, Tradução em português
Presidente da Rússia, Vladimir Putin: Cidadãos da Rússia, Amigos,
Considero ser necessário falar hoje, de novo, sobre os trágicos acontecimentos em Donbass e sobre os aspectos mais importantes de garantir a segurança da Rússia.
Começarei com o que disse no meu discurso de 21 de Fevereiro de 2022. Falei sobre as nossas maiores responsabilidades e preocupações e sobre as ameaças fundamentais que os irresponsáveis políticos ocidentais criaram à Rússia de forma continuada, com rudeza e sem cerimónias, de ano para ano. Refiro-me à expansão da NATO para Leste, que está a aproximar cada vez mais as suas infraestruturas militares da fronteira russa.
É um facto que, durante os últimos 30 anos, temos tentado pacientemente chegar a um acordo com os principais países NATO, relativamente aos princípios de uma segurança igual e indivisível, na Europa. Em resposta às nossas propostas, enfrentámos invariavelmente, ou engano cínico e mentiras, ou tentativas de pressão e de chantagem, enquanto a aliança do Atlântico Norte continuou a expandir-se, apesar dos nossos protestos e preocupações. A sua máquina militar está em movimento e, como disse, aproxima-se da nossa fronteira.
Porque é que isto está a acontecer? De onde veio esta forma insolente de falar que atinge o máximo do seu excepcionalismo, infalibilidade e permissividade? Qual é a explicação para esta atitude de desprezo e desdém pelos nossos interesses e exigências absolutamente legítimas?
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